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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 18:58

 

Cet article répond à une campagne publicitaire actuelle selon laquelle l’eau que notre collectivité nous offre à boire serait de bonne qualité.  Igepac préfère la prudence et l’information  car les  pesticides sont indolores et toxiques à doses homéopathiques.

  

Nous vous proposons deux affaires portées devant les tribunaux :
une au Canada et une en France.

 

 

Au Canada : de l'eau cancérigène

 

 

 

 

Le gouvernement canadien sait depuis une trentaine d'années que la nappe phréatique qui alimente en eau potable les résidents de Shannon, village près de Québec, est contaminée par un produit toxique cancérigène, le TCE ( Trichloréthylène ou trichlo C2HCl3 ).

Mais les autorités n'ont rien dit et les cancers se sont multipliés. Les victimes exigent maintenant réparation.
Le village de Shannon vit à l'ombre de la base militaire Valcartier, du centre de recherche de la Défense nationale et d'une ancienne usine d'armement. Le village vit aussi à l'ombre du cancer.

 

 

Quelques éléments de cet énorme dossier :

 


 
<< De l'eau cancérigène

 
 

 
<<
Un puits de mensonges du fédéral ?
 

 


<< La signature du polluant dans l’ADN

 

 

 
<< Une vidéo de la télévision canadienne 
 

 

 

 

 


En France : l
e cancer des pesticides

 
Des produits utilisés par les agriculteurs sont reconnus cancérogènes

 

Le résultat d'une longue bataille juridique

 

 

Lors de l’épandage de pesticides, généralement il est admis que ces mêmes produits vont soit rejoindre le nuage de Tchernobyl, soit perdre leur toxicité  avant de pénétrer dans la nappe phréatique !

Dans cette affaire la justice
reconnaît que certains produits utilisés par les agriculteurs sont cancérogènes.

 

Qui aurait parié qu'une femme d'agriculteur parviendrait, de la petite ville vosgienne de Rambervillers, à percer l'un des secrets industriels les mieux gardés, celui de la composition des pesticides de grandes marques ?

 


 <<  Lire et relire l’article de l’Express, et publiez ici vos conclusions
 




 

 

 

P.S. : Igepac se renseigne actuellement pour répondre à cette simple question : les pesticides employés par l’agriculture dans ma commune sont-ils tous analysés, dans l’eau que je bois ?


A ce jour, la réponse sans équivoque est négative.

Renseignez-vous donc également et faites nous part de vos recherches. A suivre de très près.

 

La première précaution sanitaire à conseiller et qui ne va pas faire plaisir à bon nombre d’acteurs politiques et financiers :

 

 NE BUVEZ PAS L’EAU DE VOTRE ROBINET  

SANS AVOIR EU LA PREUVE QUE LES ANALYSES,

QUI ONT ETE FAITES,

CONCERNENT TOUS LES PESTICIDES

UTILISES SUR VOTRE COMMUNE !

 

Un pesticide, dans notre eau buvable, est reconnu être

100 000 fois (  en concentration )

 plus dangereux que les nitrates.

      

Un évident et simple principe de précaution.

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