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25 juin 2012 1 25 /06 /juin /2012 00:14

Le titre est d'EUROPE ECOLOGIE

 

Nous attendons pour voir ce qu'est l'écologie politique.

 

???

 

1/ Surpression des parts fixes

 

2/ Suppression de la pollution par épendages DES REJETS DE STATIONS D'EPURATION

 

3/ Suppression des autorisations de cultures avec nos déchets issus du tout-à-l'égout et des ordures ménagères

 

TOUTE REVALORISATION DE DECHETS DEVRA PROUVER UNE ABSENCE DE POLLUTION ... etc

 

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 00:29

 Merci à tous et malgré une absence de publication igepac ne cesse de grandir

 

C-est-le-printemps-sur-igepac.PNG

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 00:06

 

 Jacques nous livre l'eau sur un plateau

&

Marianne prend un verre de Maroilles,

  et sans modération  nous livre

ses pensées

...

specul-0-dec-2011.PNG

 

 

specul-1-dec-2011.PNG

 

 

specul-2-dec-2011.PNG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 00:13

 

Le PETIT blog qui monte, qui monte

grâce à vous internautes.

Un remerciement particulier

aux " pigistes ",

André, Laurent, Pierre, Jacques

JP.et Manon au Québeck

...

et tous les internautes d'un jour,

qui participent à la diffusion de l'information.

 

stat2-igepac-5-dec-2011.PNG

 

 

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 00:09

 

D’après un document daté du 15 novembre 2011 du BRGM, Bureau de recherches géologiques et minières, placé sous la double tutelle du Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche et du Ministère de l’écologie, du développement durable. http://www.brgm.fr/

 

Le niveau des nappes au 1er novembre 2011 est hétérogène d’une région à l’autre. Plus des deux tiers des réservoirs (79%) affichent un niveau inférieur à la normale. C’est le cas sur la plus grande partie du Bassin parisien et dans le Sud-Ouest pour plusieurs grands aquifères. On peut citer les nappes de Beauce, du Bas-Dauphiné, du Champigny en Ile-de-France ou encore les nappes du bassin de la Garonne. Cette situation est le résultat de plusieurs années de déficit pluviométrique.

 

Tendance d’évolution du niveau des nappes

 

Par rapport dernier bulletin, la proportion de niveaux stables ou en hausse n’a pas fortement évolué (39% des niveaux au 1er novembre pour 33% au 1er septembre). Pour la plus grande partie des régions et notamment pour le Bassin Parisien, la situation n’a pas changé. On note cependant, à l’échelle nationale, qu’un nombre croissant d’indicateur traduit une situation plus stable que précédemment. On se situe, semble-t-il, à la période charnière d’inversion de la tendance d’évolution du niveau des nappes.

 

La grande majorité des niveaux reste cependant en baisse (62%), en particulier dans les régions où les niveaux sont déjà inférieurs aux normales (majorité du bassin Seine-Normandie et certains secteurs du bassin Adour-Garonne). Pour ces territoires, les rares pluies du début d’automne n’ont pas permis d’inverser la tendance d’évolution à la baisse du niveau des nappes.

 

Plusieurs grandes nappes présentent une situation déficitaire :

 

- La nappe des calcaires de Beauce est en encore en baisse en octobre 2011. Dans un contexte général de baisse des niveaux depuis 2002, les niveaux piézométriques enregistrés sont très inférieurs aux normales de saison. L’absence des pluies du début d’automne est très préjudiciable à une amélioration de la situation.

 

- La nappe du fluvio-glaciaire du Pays de Gex poursuit sa baisse au mois d'octobre, selon une dynamique constante. Les niveaux sont historiquement bas pour la saison (fréquence plus que décennale de basses-eaux). La situation relative ne montre aucune évolution favorable ni amortissement de cette tendance.

 

- Sur le bassin Seine-Normandie, la nappe de la craie reste à la baisse courant octobre. La vidange se poursuit sur la majorité des piézomètres et l’ensemble des niveaux sont inférieurs aux normales. Les rares précipitations depuis le début de l’été n’ont pas eu d’influence très significative sur le niveau de la nappe.

 

- La situation de la nappe du calcaire de Champigny reste critique et en baisse au cours de ce mois d’octobre. La plus grande partie des points de suivi est en baisse et présente des niveaux inférieurs aux normales de saison.

 

- Les nappes du Languedoc-Roussillon présentent des niveaux globalement en baisse en octobre. Les pluies de fin de mois ne permettent pas d’infléchir la baisse mesurée des niveaux qui deviennent dans plusieurs cas assez déficitaires. La station de mesure de la Fontaine-de-Vaucluse a enregistré, en cette fin octobre, une petite remontée des débits. Le débit minimal journalier enregistré en octobre sera probablement le débit le plus faible de 2011. Le débit moyen du mois d'octobre, 5,1 m³/s, est parmi les plus bas de la série des données disponibles (le 4ème rang depuis 1970).

 

Les évènements pluvieux de fin octobre pourraient traduire prochainement une modification de la tendance à la baisse de la grande majorité des points de suivi. Les situations observées en octobre devraient ainsi s’améliorer, à l’image des points qui tendent à se stabiliser. Les conditions d’une amélioration durable de la situation restent cependant liées aux futures pluies de l’automne et du prochain hiver.

 

logopdf igepac mini<< le document/

  

 

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 00:09

 

A priori, igepac se réjouit de la création d'un tel organisme. 

 

Un article de Jean-Luc Martin-Lagardette

 

Un groupe de scientifiques et de militants œuvre à la création d’un Comité de recherche et d’informations indépendantes sur l’eau (Criieau) sur le modèle de la Criirad.

 

Objectif : proposer une méthode globale et biologique d’analyse de la qualité de l’eau distribuée.

 

Comment savoir si une eau de boisson est de bonne qualité ? L’eau du robinet et l’eau en bouteille, les eaux « destinées à la consommation humaine » en termes juridiques, doivent respecter un certain nombre de normes pour être qualifiées de potables.

 

Ces normes (une soixantaine de paramètres avec des valeurs de seuil) concernent les caractéristiques physiques, chimiques et bactériologiques de l’eau. Leur respect assure un très faible niveau de risque sanitaire, un niveau jugé acceptable, étant donné qu’on ne peut pas éviter la présence de traces de pollutions dans l’eau traitée.

 

Cette approche nous garantit que l’eau du robinet, notamment, puisée dans des rivières, des lacs et des nappes phréatiques puis traitée, ne rend personne malade (sauf très rares exceptions).

 

Mais cette eau est-elle redevenue pure pour autant ? Non, bien sûr. Et, en raison du chlore qu’on y injecte pour la protéger dans les réseaux de distribution, elle a parfois un goût gênant. De même, en fonction de sa plus ou moins grande minéralisation, elle est plus ou moins agréable à boire. C’est pourquoi beaucoup de personnes ont cédé à la mode des carafes filtrantes et autres osmoseurs, censés lui rendre sa pureté originelle. Malheureusement, ces appareils sont très rarement utiles ; leur réputation est surfaite.

 

Approche globale et biologique

 

Certains spécialistes plaident pour une nouvelle manière d’évaluer la qualité de l’eau potable : « A l’approche classique analytique et quantitative, explique Yann Olivaux, biophysicien de formation, auteur et conférencier, il faudrait substituer des mesures globales et de nature biologique. En effet, l’approche actuelle analyse les substances indésirables une par une, séparément et ne prend pas en compte l’effet cocktail, c’est-à-dire leur effet synergique. Elle néglige également l’effet des faibles doses, effet pourtant aujourd’hui bien établi, notamment sur les fonctions endocriniennes. Enfin, seules 40 molécules sont surveillées sur les 10 000 en circulation dans les eaux ».

 

Yann Olivaux

 

Yann Olivaux est à l’origine du projet de Comité de recherche et d’information indépendantes sur l’eau (Criieau) avec Claude Danglot, docteur en médecine et ingénieur hydrologue, un profil rare.

Ce groupe pluridisciplinaire de scientifiques, de juristes et de personnes qualifiées est en train de mettre sur pied une association pour proposer de nouvelles méthodes d’évaluation de la qualité de l’eau et pour diffuser une information indépendante des grands groupes. Cette association sera bâtie sur le modèle de la Criirad, du Criirem et du Criigen.

 

Le Dr Claude Danglot

 

« La méthode existe, révèle Yann Olivaux. Le docteur Danglot et son équipe avaient mis au point des tests biologique très fins et fiables qui, en étudiant l’inhibition de la synthèse des ARN, permettent d’évaluer avec précision les effets de l’eau et des substances qu’elle contient éventuellement sur les cellules humaines. En fonction des résultats, on peut alors procéder aux analyses physicochimiques classiques. »

 

La proposition de ce futur comité s’appuie sur une « recommandation » de la commission environnement du Conseil de l’Europe ("Environnement et santé : mieux prévenir les risques sanitaires liés à l’environnement") qui, en 2009, avait lancé « un signal d’alarme à tous les gouvernements et à tous les organismes et acteurs responsables afin de sauvegarder ou de rétablir un environnement sain, et de préserver de cette façon l’avenir de nos enfants et des générations futures ».

 

Une article d'un site à découvrir http://www.ouvertures.net/

 

 

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 00:05

 

LIVRE-Marie-Agnes-Bordonneau.PNG

 

Ce livre paru en 2009 est consacré à l’eau, il présente une approche originale, trop rarement explorée surtout lorsque l’actualité se focalise sur la reconnaissance du droit à l’eau. De quoi parle t-on lorsque l’on parle de Droit et d’Eau ? L’auteur, juriste de formation nous accompagne à la découverte de ces deux sphères de façon très pédagogique. C’est pourquoi, Amis de l’eau, je vous encourage à vous y plonger ( sans vous laisser dissuader par son volume 900 pages )… Vous ne le regrettez pas ! Mais nous sommes convaincus que ce résumé sera mieux vous convaincre que notre courte introduction…

 

Résumé

 

Du point de vue juridique, la nature de l'eau est à la fois un bien commercial, mais également un bien patrimonial qu'il faut apprendre à protéger, défendre et traiter comme tel. Cette spécificité justifie un régime juridique particulièrement protecteur, afin de préserver cette ressource, vitale pour l'homme. C’est ce « Regard juridique sur la double nature de l'eau » que Marie-Agnès Bordonneau nous propose.

 

Le sujet de cette recherche est l'eau ; plus précisément, l'eau destinée à un usage particulier : l'approvisionnement du public. Comment fournir au public une eau de bonne qualité dans des conditions économiquement, socialement et écologiquement acceptables ? Cette interrogation est le fil conducteur qui nous guide tout au long de cet ouvrage. Et la réponse que nous tentons d'apporter est qu'il faut comprendre, respecter et intégrer dans toute réglementation s'y appliquant, la double nature de l'eau.

 

L'eau possède en effet, outre son évidente valeur environnementale, une valeur sociale, sanitaire mais aussi économique. La directive cadre du 23 octobre 2000 affirme ainsi avec force dans son tout premier considérant : « L'eau n'est pas un bien marchand comme les autres mais un patrimoine qu'il faut protéger, défendre et traiter comme tel ». Cette formulation synthétise parfaitement la double nature de l'eau telle que nous la concevons dans cet ouvrage.

 

Cette formule nous rappelle que l'eau présente une incontestable nature économique - un bien marchand - tout en soulignant la spécificité de ce bien - ce n'est pas un bien marchand comme les autres car il est aussi un patrimoine commun - spécificité qui justifie un régime particulièrement protecteur afin de préserver cette ressource si vitale pour l'homme. Ce sont ces deux aspects dont nous traitons respectivement dans les deux parties de cette étude : l'eau ressource vitale/l'eau valeur économique.

 

La première partie démontre la nature de ressource vitale de l'eau. Elle expose les deux aspects fondamentaux de cette ressource : celle-ci est à la fois un patrimoine vital et collectif, un patrimoine commun de l'humanité qu'il faut partager et transmettre (problématique de la nature de chose commune de l'eau, du droit à l'eau...) et une ressource naturelle qu'il faut préserver par tous les moyens (polices de l'eau, contentieux civil et pénal de l'atteinte à la ressource, mesures économiques...).

 

La deuxième partie aborde le second visage de l'eau : l'eau valeur économique, l'eau objet d'une prestation économique. L'expression la plus concrète de cette valeur économique se révèle dans les services d'eau. Cette partie montre comment ces services s'inscrivent dans un balancement entre deux ordres normatifs, qui finalement correspond à la double nature de l'eau : leur dimension d'intérêt général (c'est la fourniture d'une ressource essentielle) justifie leur qualification de service public, leur dimension commerciale (c'est une prestation économique) justifie celle d'activité économique et l'application de règles dédiées (droit de la concurrence, droit de la consommation, clauses abusives...).

 

En conclusion, ce livre tente de démontrer que seule une vision globale de l'eau, une vision qui intègre ces deux aspects peut inspirer une politique de l'eau durable qui préserve à la fois cette ressource fragile et satisfait les besoins si essentiels de ceux qui la consomment.

 

Sources :

http://www.mollat.com/

 et http://www.paperblog.fr/

 

L’auteur

 

Marie-Agnès Bordonneau est Docteur en Droit privé.

http://www.juristes-environnement.com/

 

Elle a consacré sa thèse au droit de l’eau et s’est spécialisée dans le droit de l’environnement. Elle intervient dans le cadre du Master professionnel de droit de l'environnement, de la sécurité et de la qualité dans les entreprises de l’Université Paul Cézanne ( Aix-Marseille III - http://cde-aix.fr/Blog/equipe/ )

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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 00:49

 

bains-romains.PNG

 

D'après un article du Figaro.fr

 

Près d'Arles, huit canalisations en plomb traversaient le fleuve par 12 mètres de fond.

 

Un réseau d'adduction d'eau potable traversant le Rhône a été découvert par les archéo­logues du département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (Drassm) et de l'Association archéologie sous-marine.

 

Huit canalisations sous-fluviales en plomb, d'une longueur moyenne de 200 mètres et soudées par sections de 3 mètres, ont été localisées par 12 mètres de fond.

 

« Un savoir-faire particulier »

 

On savait depuis le XVIIe siècle que les Romains avaient mis au point un réseau d'eau potable sous-fluvial. Des tubes en plomb, aujourd'hui exposés au musée départemental Arles antique, avaient été remontés accidentellement par des ancres de bateau. «Peu ont été conservés, car beaucoup de ces tuyaux ont été fondus à l'époque pour fabriquer des balles de fusil», poursuit Luc Long de l'Association archéologie sous-marine.

 

Élément nouveau : on sait maintenant avec certitude comment ces tubes, découverts sous des roches et des sédiments, étaient soudés. Une boule de plomb, appelée familièrement «olive» en raison de sa forme, était fondue à l'extrémité de chaque section de tuyau. «C'était un savoir-faire particulier. À tel point qu'on a retrouvé les noms de certains artisans inscrits sur la soudure.»

 

Ce que l'on ignore, c'est la manière dont les canalisations ont été immergées. Parce que les tuyaux repêchés voilà quatre siècles ont été trouvés près de ponts (ou d'anciens ponts), les spécialistes en ont déduit qu'ils y avaient été soudés avant d'être mis à l'eau. Les découvertes de Luc Long et son équipe amènent à revoir cette hypothèse. «On a trouvé ces canalisations distantes d'une cinquantaine de mètres les unes des autres. Peut-être que les tuyaux étaient soudés sur la berge, emmaillotés dans des caissons en bois, mis sur flotteur puis immergés en les faisant pivoter pour qu'ils soient à la perpendiculaire du fleuve», suppose le chercheur.

 

Autre énigme, on ne sait pas précisément quand ce réseau sous-fluvial a été construit. Seule certitude : les tuyaux portent les marques du grand incendie de 255 après Jésus-Christ, qui fut fatal au réseau. La façon dont l'eau était ensuite redistribuée de la berge jusqu'aux habitations reste également mystérieuse, car de nombreux vestiges, dont on n'a pas gardé trace, furent détruits au XIXe siècle lors de l'aménagement des digues et des bords de Rhône.

 

L’article complet ici :

http://www.lefigaro.fr/sciences/2011/10/25/01008-20111025ARTFIG00676-rhone-decouverte-d-un-reseau-romain-d-eau-potable.php

 

Voir ici d’autres trésors du Rhône

http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2009/10/24/03015-20091024ARTFIG00104--le-tresor-du-rhne-.php

 

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24 octobre 2011 1 24 /10 /octobre /2011 00:00

 

singe-eau.PNG

 

Nul n’est sensé ignoré la loi et surtout pas le percepteur de la redevance de pollution exigée aux abonnés qui sont contraints de la payer sous peine de coupure d’eau.

 

Gérer c’est pourtant prévoir

 

« La communauté d'agglomération doit plus d'un million d'euros à l'Agence de l'eau pour rembourser la redevance pollution non versée depuis… les années 90. » Elle devra rembourser pendant quatre ans les sommes dues à l'Agence de l'eau.

 

Un article de paris-normandie.fr

 

« Lundi 17 octobre 2011, au conseil de la Communauté d'agglomération des portes de l'Eure, l'humeur est au consensus. Toutes les délibérations sont votées à l'unanimité. Quand soudain, dans les derniers points qui concernent les décisions modificatives au budget 2011, la salle se réveille.

 

Un volume mésestimé pendant plus de dix ans

 

Jean-Jacques Cholet évoque une dette de la Cape à l'égard de l'Agence de l'eau. Et pas n'importe quel montant puisqu'il s'agit de 1,2 M€. « Cette somme est une régularisation de la redevance pollution, explique le vice-président. Nous pourrons étaler le remboursement sur quatre ans. » « Un arriéré de plus de dix ans ? s'étonne un délégué. Pourquoi n'a-t-il pas été régularisé avant ? Et n'y a-t-il pas prescription ? » « Il serait bon de différer ce vote, renchérit un autre élu, et s'assurer au préalable qu'il n'y a pas prescription.

 

C'est une somme colossale et même si nous devons aller jusqu'au contentieux, ça peut forcer une négociation. » Le conseil décide donc de reporter son vote. Renseignements pris auprès de l'Agence de l'eau, la Cape devra bien s'acquitter d'1,2 M€. « La redevance pollution est calculée en fonction du volume d'eau utilisée, explique le directeur, Rémy Filali. Avant 2006, la somme due par la collectivité était basée sur une moyenne. En règle générale, si une année le volume était plus important, il baissait l'année suivante et la consommation se lissait sur plusieurs années. »

 

Au début des années 2000 naissent les établissements intercommunaux. La gestion de l'eau, jusqu'alors assurée par les communes ou les syndicats, est reprise par les communautés. En 2006, le calcul est modifié par la loi. La redevance doit désormais être fondée sur la consommation réelle. Un état des lieux des collectivités qui ont payé trop, ou pas assez, est engagé.

 

...  »

 

 

L"article complet ici : 

  http://www.paris-normandie.fr/article/autres-actus/vernon-12-million-deuros-a-leau

 

Une info de Laurent http://maldeseine.free.fr/

 

 

 

 

 

 

 

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 12:33

 

fr-liberte-21-oct-2011.jpg

 

La fête aura lieu

Planète Equinoxe

20 Rue du Colonel Pierre Avia

75015 Paris

 

Parce que 25 ans cela se fête pour une fondation ( Fondation Danielle Mitterrand ), nous avons voulu dépasser les cadres habituels, prendre le temps de faire une fête, une grande soirée, un moment où chacun s’amuse ensemble tout en soutenant les causes de la fondation : les biens communs de l’humanité et le droit des peuples.

 

Alors, au moment où la crise s’annonce majeure et où les inquiétudes et les tensions sont nombreuses, nous avons voulu proposer un moment de détente conforme à nos engagements, parce que pour nous, les vraies valeurs ce sont aussi ces moments de partage et de convivialité.

 

La soirée commencera à 22h30. Elle sera animée par le Paris Bal Rock, qui dispose de plus de 3000 titres à son répertoire, depuis Edith Piaf jusqu’aux derniers tubes à la mode, mais également par DJ Corti pour mettre une note d’électro dans la soirée.

 

Une participation solidaire de 10 euros est demandée à l’entrée, 5 euros en prévente dans le réseau FNAC.

 

L’ensemble des sommes récoltées permettra à France Libertés de continuer son action, pour le droit à l’eau, la défense des peuples et la mise en avant des autres richesses du monde.

 

Plus d’informations sur le site de France Libertés :

http://www.france-libertes.org/Grande-Soiree-des-25-ans?

 

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Publications récentes d'igepac

aout-2011

    - Les eaux que nous buvons

    ( 1 - Généralités )

    ( 2 - La chimie de l'eau buvable )

 

    L'arnaque des tarifications

 ( abonnement & tarification progressive )

 

     

 

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que la raison ne connaît pas
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Les défits d'igepac

 
1/
 La fourniture de l’eau doit être un service public, sa gestion financière doit être faite par la collectivité
  
2/  L'eau des particuliers doit être différenciée de celle des activités professionnelles : suppression des parts fixes ( abonnements ) et en urgence celle de la partie assainissement.

3/  L'Agriculture polluante doit payer sa propre pollution, sinon  cette pollution doit être prise en charge par la collectivité nationale.
      

P. S. Qui N'a Rien À Voir, ...

Epandage : pollution évitable

Les Seigneurs parisiens